
Bienvenue !
Votre visite fait chaud au cœur
Spleen&psy une bulle de bienveillance, de respect, de tolérance, ou vous pourrez vous exprimer en toute liberté.
Vous vous sentez dissocié, coupé de votre corps, de vos ressentis ou de vos émotions
Vous avez des difficultés à identifier VOS besoins
Vous avez des difficultés avec les séparations et les surprises
Vous avez des difficultés dans vos relations avec la proximité et les contacts affectueux
Vous avez tendance à vous déconnecter des autres et à éviter la relation
Au contraire vous vous sentez dépendante de l'autre
Vous supportez mal quand votre compagnon ou compagne ne répond immédiatement à vos SMS ou appels
Vous avez du mal à dépendre de quelqu'un ou au contraire vous manquez d’autonomie et avez besoin des autres
Vous vous sentez en insécurité affective et avez besoin d'être en permanence rassuré
Vous avez besoin de vérifier et tester en permanence l'engagement de l'autre
Vous manquez de confiance, et avez peur de vous mettre en avant
Vous avez besoin d’attirer l’attention
Vous vous challengez en permanence et vous challengez les autres
Vous avez des difficultés à faire des choix
Vous avez tendance à vouloir aider les autres
Vous vous mettez en colère rapidement quand vous n’obtenez pas ce que vous voulez
Vous avez tendance à vous dévaloriser ou vous vous sentez critiqué ou jugé par les autres

Qui suis je?
Je ne suis pas une Psychothérapeute je suis une Psyplette...🌟
L’image caricaturale du psy taiseux avec des lunettes qui bougonne dans sa barbe quelques « Mmmmm…. », « Ahhhhh… » et qui répond systématiquement aux questions du patient par « à votre avis ? » ou « qu’est-ce que vous en pensez, vous ? » me semble bien obsolète et périmée de nos jours.
Cette pratique appelée « l’abstinence » a été mise en place par les successeurs de Freud à la fin du XIXème siècle, alors que le père de la psychanalyse lui-même ne la pratiquait pas puisqu'il parlait et échangeait beaucoup avec ses patients.
Laisser le patient dans le silence me semble tellement cruel, et le mutisme est si peu constructif...
Si certains silences sont utiles, fondateurs et chargés de sens, il me parait important d’apporter ma contribution d’énergie à l’échange avec le patient. Le patient vient chercher un accompagnement pour trouver des réponses, le psy se doit alors de bouger pour le suivre. La parole n'est-il pas le propre de l’Homme ? Bien évidemment, je n’ai aucune réponse ou solution précise et tranchée aux questionnements des patients, mais j’interagis, je me pose tout haut des questions, je cherche avec lui, je reformule, je propose des pistes de réflexion, des hypothèses, parfois des conseils de lectures, films, conférences de sorte à ce que le patient puisse trouver la ressource et l’énergie nécessaires pour donner sens à sa recherche. C’est précisément ce qui est attendu d’un thérapeute que de contribuer à la recherche du patient...
🌟 C’est quoi une psy engagée ?
On dit souvent, et à raison, que le succès d’une thérapie repose pour beaucoup sur l’engagement et l’implication du patient. Mais une thérapie est un travail d’équipe (patient + psy) et une équipe fonctionne bien quand tous les membres sont engagés. Qu’en est-il de l’engagement du psy ? Je suis engagée au sens où je suis honnête et sincère en consultation. Si une situation ou un récit m’émeut, il m’arrivera parfois d’avoir les yeux brillants et de ne pas contenir à tout prix mon émotion. Certains praticiens jouent la "neutralité bienveillante" au prétexte de devoir "tenir une distance thérapeutique" pour ne pas influencer le cheminement et le libre arbitre du patient.Je pense que les personnes viennent en consultation pour trouver de la chaleur et de l’humanité. Je ne souhaite pas cacher à mes patients ce que je ressens de leur histoire: colère, tristesse, joie, .... Ma vérité à leur écoute contribue, de mon point de vue, à la justesse et l’authenticité de leur cheminement vers leur vérité.
Il m’arrive aussi parfois de parler de moi. L’académisme voudrait que, aux yeux du patient, le psy soit un être neutre, aseptisé, éthéré presque, dépourvu d’émotions et d’histoire. Mais alors, comment encourager notre patient à s’émanciper de l’idéal de la perfection si nous lui faisons croire que nous sommes cet être neutre qu’il peut bien idéaliser à l’envie?Donc, avec parcimonie, brièveté et justesse, et uniquement quand cela me parait opportun, il m’arrive de parler de mon expérience, de mes problématiques, de mes questionnements.
Mon éthique est empreinte d’humanisme, au sens où je place l’humain au centre de ma pratique
la psychanalyse
Le psychanalyste n'est en aucun présent pour vous soigner. Si vous le consultez, c'est que vous n'êtes pas malade. Bien au contraire, si vous le consultez c'est pour aller mieux. Dans cette démarche, vous vous inscrivez dans un désir positif de parfaire votre vie, de trouver vos clefs, de cesser vos cycles infernaux et de comprendre l'essence de vos mécanismes. Si vous le consulter, c'est que vous allez bien, même si vous souffrez terriblement. Vous allez enfin effectuer le travail psychique dont vous avez besoin et qui vous est nécessaire pour vous autoriser à devenir qui vous êtes au meilleur de vous-même. Vous allez pouvoir entrevoir vos possibles et projeter le réel et non vous morfondre dans un imaginaire, certes créatif, mais impalpable, voire inaccessible.
Bien sur, vous pouvez vous sentir accablé, mais qui ne serait pas anéanti par un désir qui vous renvoie perpétuellement à vos incapacités ? Là est l'essence même du travail analytique : se trouver, être soi, s'autoriser à se comprendre pour avancer et se permettre d'être enfin JE. Vos solutions sont en vous, je peux vous aider à en trouver le chemin.
Si vous vous sentez malade ou en danger, je vous conseille de diriger votre demande directement vers un médecin psychiatre qui saura à la fois vous écouter et vous accompagner vers un soin, c'est à dire vous soigner de cette gangrène qu'est la douleur du désir de mourir ou d'avoir peur de soi ou des autres.
Le psychiatre est médecin et soigne, telle est sa fonction, il a été formé à traiter des maladies mentales sérieuses telles la schyzophrénie, la maniaco-dépression, autrement dénomée le "trouble border Line" ou encore "état limite", des psychoses de divers types etc...
Le psychanalyste vous accompagne vers votre propre connaissance, il permet, il réouvre les chemins enfouis de l'inconscient par la voie royale des rêves, il dénoue les nœuds des discordes qui font écran devant vos émotions. Enfin, il n'est pas rare de consulter en paralèlle un psychiatre pour la médication et un(e) psychanalyste pour le travail sur soi. Le psychanalyste va s'attarder à dénouer les névroses, le psychiatre s'occupera quant à lui des psychoses.
Est ce que la psychanalyste va m'écouter sans rien dire, dans le silence ?
Non, le silence en psychanalyse a été galvaudé car il est nécessaire, grand nombre de mes patients pourraient vous dire à quel point je suis bavarde... ce n'est pas mon discours qui est important, mais bien le vôtre. Et c'est en vous écoutant que je vais pouvoir vous aider. Mes paroles ne vont être présentes que pour expliquer votre écho, vous aiguiller, vous permettre en "co-pensées" le dire.
Dans ce processus, l'intervention de l'analyste est loin d’être passive, elle se veut juste respectueuse des axes et des éléments dont elle dépend et qu'on lui fournit. Vos symptômes, vos comportements vont alors s'organiser comme des pistes vers vos mécanismes pathologiques et nous pourrons alors, grâce au transfert y travailler.
J'utilise l'approche psychodynamique que vous pouvez saisir en face à face ou sur le divan. J'adapte ma prise en charge en fonction de la problématique de mon patient et de ses aspirations.
tout ce qui est prononcé reste confidentiel, je suis tenue au secret professionnel.
Les Couples
Quid de la question de l'amour.
De l'importance d'une médiation réussie quand il s'agit de prendre des décisions ou d'enrailler un dialogue devenu silencieux. Un dialogue qui juge et qui ne peut plus comprendre, ou encore qui perdure sans oreille, de peur d'être incompris. Quand le sexe ne peut plus s'inscrire dans la relation ou lorsqu'il fait éponge à nos colères ou tampon à une lassitude non exprimée. Lorsqu'il n'est plus présent et qu'il devient échange ou enjeu, voire chantage ou punition, lorsqu'enfin les tabous ne peuvent être exprimés sans filets, il est temps de consulter, tout simplement pour s'autoriser. La thérapie devient le travail adapté, car centré sur le fonctionnement du couple, elle décloisonne la parole, autorise le non dit à s'exprimer et permet la clareté d'un discours réel. Le couple reprend alors ses marques, comprend ses mécanisques de défenses et de communication, comprend ses blessures narcissiques, oeuvre dans le même sens, celui de la vérité. Que ce soit pour continuer une autre partie de l'histoire commune, ou de mettre un terme definitif à la relation, les choses deviennent limpides et les individus repartent en accord quelque soit la décision, car elle n'est plus subit mais belle et bien construite, réfléchie, pensée et comprise donc s'enonce simplement. Les enfants dans tous cela sont des sujets collateraux, il est nécéssaire également de penser à eux. Mais avant de penser aux enfants, il est nécéssaire que les adultes (le couple) sache où il va. Pour faire simple, il est important de prendre soin de vous, pour prendre soin de vos enfants. Et d'être clair dans votre discours, pour leur permettre une belle compréhension.
Le Divorce consultation pour adulte sans enfant mais pour l'enfant :
C'est décidé, vous souhaitez divorcer, vous séparer, mais vous avez peur des conséquences psychique que ce cataclysme familiale risque d'engendrer.
Affecté(e), culpabilisé(e), démoli(e), nouvellement amoureux, en état de choc, transformé(e), bléssé(e) dans son amour propre, sur un petit nuage, ou encore en colère noire, vous ne savez comment aborder le sujet avec vos enfants.
Comment annoncer à des enfants une séparation ?
-Quelles sont les conséquences psychiques infantiles de la séparation ?
-Quel mode de garde adopter lors d'une séparation ?
Autant de questions parentales auxquelles je m'efforce de répondre clairement et efficacement à chaque consultation, afin que les parents se sentent mieux armés pour faire face aux diverses situations que la séparation engendre.
Nous abordons alors, les angoisses infantiles des enfants comme :
-l'anxiété,
-l'angoisse de séparation,
-la peur du désamour,
-mais aussi les conflits d'intérêt,
-de loyauté
-ou encore les enjeux
-et les difficiles mises en place de clans.
Nous parvenons alors à apaiser les craintes, les doutes en comprenant quelques mécanismes et en travaillant aux côtés des enfants et avec eux.
Bien sur, je propose aux parents une bulle de bien être, un espace où le dire n'est pas jugé, où les émotions sont écoutées et comprises ensembles dans un moment d'introspection. Un temps pour eux, afin que le moral soit au beau fixe. Repartir de l'avant ! Malgré vents et marées, telle est l'obligation de la séparation, même si ce n'est pas vous qui en êtes l'initiateur.
Votre capacité, mais également celle de votre EX-conjoint(e), (donc du couple de parents que vous resterez), à digérer au mieux la séparation, (le divorce), est en soi un des facteurs clés pour l'avenir psychique cléments de vos enfants.

Pratique humaniste
Avoir une pratique humaniste ça consiste en quoi ?
D’abord être ponctuelle en ne gâchant pas le temps de des patients. Sauf événement sérieux et indépendant de ma volonté, si vous avez rendez-vous à 17h, vous passerez à 17h ! Je pense qu’à notre époque, ça mérite d’être souligné.
Pour assurer ma ponctualité, je ménage des temps de régulation entre mes rendez-vous qui permettent à l’entretien en cours de se terminer quand il doit vraiment se terminer. Si la personne est en train de comprendre quelque chose ou de traverser une émotion éprouvante, il est, à mon sens, contre-thérapeutique, de l’interrompre au prétexte que son temps est précisément terminé et que le patient suivant attend déjà.
Ces temps de régulation me permettent également de faire véritablement une coupure entre 2 personnes et de prendre le temps de sortir d’une histoire pour pouvoir véritablement accueillir la suivante. Ce temps me permet de préparer l’entretien à venir en relisant mes notes ou en méditant quelques minutes (ou en prenant un thé aussi...). C’est un gage de la qualité de l’attention que le patient vient chercher.
Cette latence permet également d’assurer au mieux la confidentialité de la démarche de chacun en évitant que les patients ne puissent se croiser.
Une pratique humaniste c’est aussi proposer des séances au juste prix. J’ai choisi un format de séance de 40 minutes car j’estime que c’est le temps nécessaire pour entrer et plonger véritablement dans un échange, et éviter de rester en surface.
Mais également un format de 1h pour approfondir les sujets méritants une attention plus personnelle.
Par ailleurs, je propose un tarif de consultation que j’ai calculé de sorte à pouvoir vivre de mon activité : me nourrir, me loger, m’habiller, m’offrir quelques divertissements, payer mes factures… J’ai choisi ce métier pour en vivre, pas pour capitaliser dessus. Mon véritable enrichissement, il est dans l’échange avec mes patients . C’est dans ces moments-là que la différence entre réussir dans la vie et réussir sa vie devient claire.
Comment accompagner une personne sur ses chemins inconnus, si nous-mêmes nous n’avons jamais osé visiter les nôtres ?
Le travail sur soi sert avant tout à se connaître, à mieux appréhender nos zones d'ombres pour les faire reculer et y faire entrer la lumière. En effet, on ne peut pas accompagner un patient plus loin que là où nous sommes nous-même capable de supporter aller... D'autant plus qu'on ne devient pas psy par hasard. Le besoin d'aider les autres s'ancre souvent dans l'histoire du thérapeute, c'est pour cela qu'il est important qu'il se connaisse bien afin d'être plus efficace !